CONSEIL

Pour les collectivités locales, la mise en place de ce type de ferme urbaine ou peri-urbaine permet de valoriser son foncier et de répondre aux enjeux d’autonomie alimentaire et aux objectifs de la loi EGALIM. Ces nouvelles obligations imposent l’utilisation d’au moins 50 % de produits de qualité et durables pour la restauration collective, dont 20 % en bio, à partir du 1er janvier 2022.

Pour se donner un ordre d’idée, on estime que pour fournir 120 repas par jour, 4 jours par semaine, il faut une production sur 2 hectares en maraîchage sol vivant réalisée par une à deux personnes. Cela correspond à 100-150 paniers par semaine dans un système d’Amap. Mettre en place ce type d’approvisionnement permet de réponde à différents enjeux en matière d’approvisionnement en produits de qualité, d’emploi local et de sensibilisation au vivant.

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